Intervenant 1 : Jensen Wong, PDG de NVIDIA, est monté sur scène en mars avec une flotte de robots humanoïdes, dont des visages familiers du passé du futur, mais un acteur majeur dans le domaine de la robotique humanoïde, visiblement absent, était le robot optimiste de Tesla. Que révèle cette annonce sur la façon dont Nvidia se positionne sur le marché des robots humanoïdes, et en quoi l'approche concurrentielle de Tesla est-elle à la fois similaire et différente de celle de NVIDIA ? Allons-y. Neuf robots humanoïdes ont été amenés [00:00:30] sur scène pour sonner l'annonce du groupe de projet de NVIDIA, qui signifie Generalist Robot Zero Zero Technology. Ouais, c'est vraiment ce que ça représente. Nvidia décrit le groupe de projet comme la base du développement de robots humanoïdes, leur permettant de comprendre le langage humain et de reproduire les mouvements humains simplement en les observant. Cela ressemble étonnamment à la façon dont le robot optimiste de Tesla apprend à partir d’entrées de données vidéo telles que des démonstrations humaines. Nvidia [00:01:00] a également démontré comment les robots utilisant sa plate-forme peuvent s'entraîner en simulation, un outil important pour les développeurs de robotique, car il est généralement beaucoup plus rapide et plus rentable de s'entraîner en simulation que de s'entraîner dans le monde réel pour des raisons, espérons-le, évidentes. Intervenant 1 : Tesla, en revanche, n'a pas mis l'accent sur les simulations dans le cadre de son développement optimiste de robots, peut-être parce qu'il construit ses propres robots. L'IA interne, formée sur de grandes quantités de données du monde réel collectées, au moins en partie par l'assistance à la conduite de Tesla [00:01:30] voitures. Lors de la grande annonce de NVIDIA, des robots humanoïdes de plusieurs des plus grands acteurs du secteur étaient présents, notamment Digit d'Agility, Robotics, Atlas de Boston Dynamics, etc. Cette annonce semble être une manière pour NVIDIA de commencer à se positionner en tant que fournisseur d'éléments de base clés pour les entreprises développant des robots humanoïdes. Nvidia a également annoncé un nouveau matériel avec son système informatique Jetson Thor conçu pour fournir la vitesse et la puissance nécessaires pour travailler avec une variété de robots humanoïdes. [00:02:00] en utilisant le groupe de projet. Tesla, en revanche, semble viser à conserver une grande partie de la production de son robot Tesla en interne, en tirant parti des leçons apprises et des outils développés pour fabriquer ses voitures plutôt que de s'associer à des sociétés comme Nvidia pour fournir ces services. Cette volonté de tracer sa propre voie s’est avérée payante pour Tesla dans le passé, par exemple en créant son propre réseau de superchargeurs, initialement conçu uniquement pour les propriétaires de Tesla. Tesla commence désormais à proposer son infrastructure de recharge de véhicules électriques aux conducteurs de [00:02:30] Des véhicules électriques d’autres entreprises pour un prix. Bien sûr, Tesla a peut-être un objectif similaire en tête pour les systèmes d’IA qui motivent les optimistes.