10 films d’animation négligés qui exigent votre attention


Disney, Pixar, Studio Ghibli…… il ne s’agit là que d’une poignée de sociétés de production d’animation que les aficionados dévoués ne connaissent pas seulement ; à peu près n’importe qui et tous ceux qui ont rencontré des dessins animés ne sont sûrement pas étrangers à eux. Néanmoins, dans cette ère de l’information en constante expansion où les chefs-d’œuvre négligés sont de plus en plus accessibles, ces joyaux animés sous-estimés méritent une seconde chance après avoir perdu leur popularité mondiale.


Que ce soit Hollywood ou le cinéma mondial, des images familiales ou sombres et granuleuses, il y en aura forcément quelques-unes sur cette liste qui satisferont votre appétit pour le monde infini de l’animation.

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VIDÉO Drumpe DU JOUR

« L’illusionniste » (2010)

Basé sur un scénario inédit du réalisateur français révolutionnaire Jacques Taticette histoire touchante est entièrement dépourvue de dialogues, mais son histoire touchante débordant d’illustrations vibrantes du paysage londonien est destinée à faire pleurer quiconque a le cœur battant.

Issu d’un désir de se réconcilier avec son ex-fille, Tati L’illusioniste (2010) dépeint une relation émotionnellement complexe entre un magicien impécunieux et une fille écossaise nommée Alice, qui croit que le magicien possède de véritables pouvoirs. Bien que les magiciens ne soient pas réels, un lien spécial entre les deux âmes solitaires n’est pas feint.

‘Ethel & Ernest’ (2016)

Ethel & Ernest (2016)

Une description affectueuse de la vie de ses parents, Éthel et Ernest (2016) est un auteur et dessinateur britannique Raymond Briggs‘ passion projet explorant les aspirations de la classe moyenne et les événements mondiaux importants tels que la Seconde Guerre mondiale ainsi que l’invention de la télévision.

Progressé dans l’ordre chronologique, le film d’animation biographique voit les parents de Briggs et deux Londoniens ordinaires dans leurs tentatives de mariage, de parentalité et d’autres événements extraordinairement ordinaires. Élevant leur fils malgré des idéaux et des valeurs opposés, cette animation dessinée à la main excelle à présenter des personnes imparfaites mais relatables qui aspirent aux plaisirs simples de la vie.

« Le roi des cochons » (2011)

Le roi des cochons (2011)

Le premier film d’animation pour adultes produit et sorti en Corée du Sud, les cinéastes responsables de Le roi des cochons (2011) n’hésite pas à proposer un système scolaire secondaire sombre et violent où les intimidateurs commandent et les faibles sont abandonnés.

Ce thriller d’horreur psychologique est étonnamment influencé par le réalisateur Yeon Sang-hode ses propres expériences au lycée, ce qui rend les séquences violentes d’autant plus effrayantes. Le roi des cochons suit deux anciens camarades de classe du collège qui se réunissent après 15 ans. Malgré leur situation inquiétante actuelle, ils commencent à se remémorer leurs années de collège lorsque les élèves sont classés en fonction de leur richesse, de leur stature et de leurs notes.

« Le secret de Kells » (2009)

Le Secret de Kells (2009)

Conte enchanteur mêlé à la mythologie irlandaise, cette production irlando-franco-belge est le premier volet du cinéaste irlandais Tom Moore‘s « Irish Folklore Trilogy » qui propose des suites tout aussi louables Chant de la mer (2014) et Marcheurs de loups (2020).

Se déroulant dans l’Irlande du IXe siècle, Le secret de Kels (2009) tourne autour d’un garçon de 12 ans nommé Brendan qui se préoccupe de trouver le livre légendaire qui « transforme les ténèbres en lumière », le Livre de Kells. Dans son pèlerinage assiégé par des créatures dangereuses, Brendan doit surmonter ses peurs les plus profondes dans ce film d’aventure fantastique avec des histoires morales de passage à l’âge adulte.

‘Watership Down’ (1978)

Watership Down (1978)

Bateau vers le bas (1978) est une histoire de lapins, mais pas du genre réconfortant. Suscitant des controverses pendant des décennies, ce classique d’animation britannique possède un contenu relativement violent et brutal qui aurait pu traumatiser de nombreux enfants lors de sa sortie et des rediffusions ultérieures.

Un commentaire sociopolitique sur la lutte entre l’autocratie et la liberté, Bateau vers le bas (1978) concerne essentiellement un jeune lapin nommé Fiver qui peut prédire l’avenir grâce aux visions qu’il reçoit. Après avoir acquis des visions apocalyptiques sur la communauté des lapins, Fiver et quelques autres braves camarades se lancent dans un voyage à la recherche d’un nouveau refuge.

« Planète fantastique » (1973)

Planète fantastique (1973)

Coproduction internationale entre la France et la Tchécoslovaquie, cette animation de science-fiction s’adresse à un public averti et aborde des sujets sensibles allant des droits de l’homme au racisme. Planète fantastique (1973) est parfait pour tous ceux qui recherchent des matériaux expérimentaux qui n’ont pas peur de s’aventurer dans des territoires effrayants, mais avec des visuels magnifiques.

Sur une planète fictive appelée Ygam, des créatures anthropomorphes bleues géantes nommées Traags pour exercer l’habitude de garder les humains comme animaux de compagnie tout en tuant d’autres humains afin de contrôler leur population. La dynamique de leur relation dominant/soumis est bientôt confrontée à un changement radical lorsque la fille d’un chef Traag clé reçoit un humain désireux de déclencher une rébellion.

« L’œuf d’ange » (1985)

Oeuf d'ange (1985)

De l’esprit de génie de Mamoru Oshii qui a offert au monde des chefs-d’œuvre comme Fantôme dans la coquille (1995), Oeuf d’ange (1985) offre des visuels à couper le souffle qui élèvent le film à des sommets insurmontables de beauté éthérée. Pourtant, son intrigue clairsemée pourrait rebuter quelqu’un car même le réalisateur lui-même, Oshii, n’a aucune idée de ce dont parle réellement le film.

Ce japonais anime joyau caché se concentre sur une mystérieuse jeune fille errant dans un paysage post-apocalyptique portant un gros œuf. La jeune fille sans nom croise la route d’un garçon qu’elle trouve effrayant au début, mais noue rapidement un lien improbable alors qu’ils explorent la ville abandonnée.

« Le grand méchant renard et autres contes » (2017)

Le grand méchant renard et autres contes (2017)

Le grand méchant renard et autres contes (2017) est un film d’anthologie familial composé de trois courts métrages d’animation liés entre eux par des personnages récurrents et des intrigues secondaires associées. Voyez si vous pouvez repérer un camée de la mascotte emblématique du Studio Ghibli, Totoro.

Basé sur le dessinateur et cinéaste français Benjamin Rener‘s propres bandes dessinées du même titre, le film commence par un groupe d’animaux se préparant pour un spectacle dans un théâtre. Accueillis par le Renard, les animaux commencent à partager leurs histoires respectives qui se déroulent toutes dans une campagne française où la sérénité n’est pas toujours présente.

« Thé de sang et ficelle rouge » (2006)

Thé de sang et ficelle rouge (2006)

Salué par le réalisateur Christiane Cegavske comme un « conte de fées pour adultes », Thé de sang et ficelle rouge est une image d’animation en stop-motion de 2006 qui a finalement vu le jour après 13 ans de production.

Armé d’un ton bizarre et d’une atmosphère effrayante rivalisant avec l’œuvre du maître du surréalisme —— David Lynchce drame de fantasy sombre et sans dialogue raconte la lutte entre deux factions, les souris blanches aristocratiques et les créatures artisanales qui habitent sous le chêne, autour d’une belle poupée faite à la main.

« Ernest et Célestine » (2012)

Ernest et Célestine (2012)

Ernest et Célestine (2012) est un long métrage d’animation charmant et enchanteur sur l’épanouissement d’amitiés improbables qui est éclipsé par le succès gargantuesque de Disney’s Congelé (2013).

Pour un public de tous âges, cette comédie dramatique est garantie d’apporter plus de chaleur dans vos cœurs qu’une cheminée confortable lors d’un Noël enneigé lorsqu’il s’agit de souligner le lien entre Ernest, un ours, et Célestine, un rat. Les deux se sont liés par leur appréciation mutuelle de l’art dans une société qui favorise les préjugés sympathiques.

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