Le gouvernement prévoit de faire payer les Big Tech pour l’utilisation du contenu des éditeurs d’actualités


Le gouvernement prévoit de faire payer les Big Tech pour l'utilisation du contenu des éditeurs d'actualités

New Delhi, le gouvernement indien envisage de faire Grande technologie payer les éditeurs pour l’utilisation de leur contenu sur leurs plateformes respectives, alors que d’autres pays visent à créer un pont de partage des revenus entre les sociétés Internet telles que Google et Facebook et les éditeurs de nouvelles numériques.

Selon le ministre d’État à l’informatique et à l’électronique, Rajeev Chandrasekhar, le gouvernement envisage de réviser les lois sur l’informatique pour effectuer ce changement.

« Le pouvoir de marché sur la publicité numérique actuellement exercé par les majors de la Big Tech, qui place les entreprises de médias indiennes dans une position désavantageuse, est une question qui est sérieusement examinée dans le contexte des nouvelles légalisations et règles », a déclaré le ministre. Les Temps de l’Inde.

Si elle est mise en œuvre, la nouvelle loi obligera les entreprises Big Tech à payer aux éditeurs de nouvelles numériques une part des revenus générés par l’utilisation de leur contenu original.

Google a déjà signé des accords pour payer plus de 300 éditeurs en Allemagne, en France et dans d’autres pays de l’UE pour l’utilisation de leur contenu sur sa plateforme.

Le gouvernement canadien a également adopté une loi au début de cette année pour assurer un partage équitable des revenus entre les éditeurs de nouvelles numériques et les plateformes intermédiaires.

En mars de cette année, le la Commission de la concurrence de L’Inde (CCI) a ordonné une enquête sur des plaintes contre Google pour abus de position dominante en matière de services de référencement d’actualités et Services de technologie publicitaire Google sur le marché indien des médias d’information en ligne.

Selon le Société des journaux indiens (INS), les entreprises de médias ne sont pas informées du total des revenus publicitaires collectés par Google et du pourcentage des revenus publicitaires transférés aux organisations de médias.

La CCI a conclu qu’à première vue, ces allégations d’abus de position dominante relèvent de la Loi de 2002 sur la concurrence et nécessitent une enquête détaillée par le directeur général adjoint.

–IANS

et/vd

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