Hilary Swank s’installe avec SAG-AFTRA sur le procès du régime de santé


Hilary Swank a réglé un procès avec SAG-AFTRA pour son affirmation selon laquelle le régime de santé du syndicat des artistes lui a refusé la couverture du traitement de ses kystes ovariens.

Les documents judiciaires obtenus par Page Six indiquent que l’actrice de « Million Dollar Baby » et le conseil d’administration du plan de santé SAG-AFTRA sont parvenus la semaine dernière à un accord écrit qui résout le problème – et exclut toute autre action en justice. D’autres détails sur le règlement n’ont pas été rendus publics.

Les représentants de Swank et du plan de santé SAG-AFTRA n’ont pas renvoyé la demande de commentaires de Page Six.

Swank, 47 ans, a fustigé l’organisation – et le secteur de l’assurance maladie dans son ensemble en septembre, comme  » [and] barbare » lorsqu’elle a annoncé le procès. Elle a écrit qu’elle était « vraiment épuisée par la façon dont les problèmes de santé ovarienne et cyclique des femmes continuent d’être traités par les compagnies d’assurance maladie ».

La star de « Boys Don’t Cry » a allégué que les administrateurs avaient rejeté ses demandes de traitement des kystes ovariens en 2015, un diagnostic remontant à 2008, lorsque son « ovaire gauche avait été détruit et retiré lors d’une intervention chirurgicale d’urgence ».

La déclaration de SAG-AFTRA à l’époque affirmait que « Contrairement aux allégations contenues dans la plainte de Mme Swank, le plan de santé SAG-AFTRA n’exclut pas le traitement de l’endométriose et des kystes ovariens en vertu de l’exclusion d’infertilité du plan, mais couvre plutôt le diagnostic et le traitement de l’endométriose et des kystes ovariens lorsque cela est médicalement nécessaire.

« Comme le montre la plainte, l’organisme d’examen indépendant accrédité (qui sépare complètement l’entité du régime) est parvenu à la même conclusion que les fiduciaires du régime que les services de Mme Swank n’étaient pas médicalement nécessaires dans ce cas. »

À la racine du problème, selon le procès de Swank, il s’agissait de savoir si Swank recherchait techniquement un «traitement de l’infertilité», ce qui est exclu par le plan SAG.

« Cette affaire aborde la question scandaleusement archaïque de savoir si le seul but d’une femme, en particulier ses ovaires, est de procréer », lit-on dans son costume.

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